La maladie
DECODAGE BIOLOGIQUE : COMPRENDRE NOS MALADIES
« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ». ( Carl Gustav Jung).
A l’origine de toutes les maladies, bénignes ou graves, il existe dans la vie du patient, un événement particulier, vécu comme un choc.
Le décodage biologique a une façon différente d'aborder la maladie.
Il s'appuie sur la fonction biologique des organes contrairement à l'aspect psychologique de la personne.
À chaque situation mal vécue, voire traumatisante, notre cerveau fait déclencher, comme un système d'alarme, les mécanismes de survie archaïques, encodés depuis la nuit des temps, comme aux premiers jours de sa création.
Ce sont eux qui en fonction de l'intensité de l'émotion vont activer la solution à mettre en place. Les programmes de survie ayant été mis en place par la nature sont là comme leurs noms l'indiquent pour maintenir en vie l'individu, coûte que coûte en sachant que ce sont des programmes primaires qui ne font pas appels à notre conscient, à notre réflexion.
On pourrait appeler ça un réflexe de survie.
Les 2 phases de la maladie
1ère phase
Événement → Choc traumatique → Phase froide de la maladie (sympathicotonie).
Les symptômes possibles : perte de sommeil, de poids, nervosité, angoisse, mains froides, etc. c’est ce qu’on appelle l’état de stress. Dans cette phase, l'esprit est obnubilé par son conflit.
Dans une partie très précise du cerveau, un groupe de neurones "ciblés" suivant le ressenti, va alors s'isoler.
La partie du corps sous la commande de ces neurones va se mettre à dis-fonctionner, l'organe pouvant se tuméfier, se nécroser, ou se paralyser.
2ème phase
Acceptation, lâcher prise → résolution du conflit → Phase chaude de la maladie (vagotonie) → sensation de fatigue, reprise du sommeil, de l’appétit.
Des processus inflammatoires, infectieux, douloureux peuvent se produire.
Les vaisseaux se dilatent afin d’optimiser la réparation. Après la tempête, c'est la récupération.
Le problème résolu, le corps se repose, il est souvent épuisé.
La partie du cerveau préalablement court-circuitée va se reconnecter au reste des neurones et cela grâce à un oedème.
Ce dernier peut passer inaperçu où, selon sa localisation, provoquer de nouveaux troubles qui surviennent au maximum de l'œdème/ c'est la crise épileptoïde (céphalées, épilepsie, infarctus...).
Le cerveau donne l'ordre de reconstruire, c'est la phase inflammatoire.
Derrière chaque inflammation se cache une colère.
Nous consultons en général dans cette phase.
Le jour où l’événement n’est plus ressenti comme un drame, alors seulement le problème est biologiquement résolu.
Le décodage biologique nous permet de prendre conscience pourquoi à ce moment très précis de notre vie apparaît tel symptôme, telle maladie ou tel mal-être.
Il permet de traduire le langage du corps de façon bio-logique.
Quels messages notre corps nous envoie ?
Comme l’a écrit toujours C.G. Jung, tout ce qui ne remonte pas à la conscience revient sous forme de fatalité, de hasard, ou de destin. Et vous lequel de ces 3 termes emploieriez-vous ?
Peut-être aucun des 3.
À vous d’en décider.
Allez-vous vous résoudre à subir ce qui vous arrive, ou allez-vous vous prendre en main ?
Il n'y a qu'une personne qui vit votre vie, c'est vous.
Chacun est maître de sa décision et donc de sa vie.
À vous de faire ce choix.
Car vous seuls avez ce pouvoir de guérir.
Les thérapeutes sont là pour vous guider, vous accompagner sur ce chemin parfois tortueux, sombre, mais c’est vous et vous seuls qui détenez la solution.
Aide-toi le ciel t’aidera !
Cette phrase prendra toute sa signification lorsque vous aurez à franchir cette étape, à ce moment de votre vie.
Cette façon d’aborder la maladie ne vient en rien se substituer à la médecine traditionnelle, elle n'est pas là pour donner un diagnostic ou un traitement, mais elle est un atout supplémentaire formidable, non négligeable dans la guérison de chaque patient.
Éthologie
L’être humain fait toutes les maladies des animaux.
Exemple : les animaux marquent leur territoire avec l’urine.
Transposé chez l’homme : toutes les pathologies de la vessie ont pour origine le marquage de territoire.
En sachant que le territoire de l’homme peut être sa maison, sa femme, sa maîtresse, son travail, son bureau (réel, imaginaire, symbolique, virtuel).
Problème pour uriner : on a intérêt à ne pas marquer notre territoire (toujours dans un but de survie) et toujours inconsciemment, car n’oubliez pas c’est toujours l’inconscient qui pilote.
La survie de l’individu dépend de la survie de l’espèce.
Exemple de lois de survie de l’espèce : les lionnes vont chasser pour laisser reposer les lions qui eux, protègent le clan.
Les maladies sont classées en 2 parties
Où il y a du +, Où il y a du –, il faut toujours chercher le + et le – dans le symptôme, cela nous aide à déterminer comment s'est construit le patient.
Quand on est séparé, en manque, (réel, imaginaire, symbolique, virtuel), on va accumuler, on va stocker, on va faire de la masse.
Quand on se sent au contraire agressé, on va plutôt s’effacer, se gommer, se faire tout petit.
Et suivant les interrelations cerveau/organes, on aura soit de la tumeur (réservoir pour engranger), soit une nécrose pour diminuer.
Tous les organes qui sont en relation avec le Tronc Cérébral et le Cervelet (voir tableau sur l’inconscient) feront de la masse (adénome, polype, adénocarcinome) pour le Tronc Cérébral, et (cancer adénoïde, mésenthélium) pour le cervelet en phase active de la maladie donc de sympathicotonie.
Et en phase de vagotonie (conflit biologique réglé) il y aura arrêt de la croissance, enkystement ou réduction de la tumeur par les bacilles de Koch, hépatites (foie).
Le Tronc Cérébral réagira aux conflits vitaux, alors que le cervelet réagira aux conflits de peur d'agression ou de souillure.
Tout ce qui est en interrelation avec la Moelle du cerveau, et du Cortex, en phase active creusera, et en phase réparatrice fera de la masse.
Pour la Moelle, en phase active, apparaîtront des ulcères ou une décalcification.
En phase de réparation (conflit biologique réglé), il pourra y avoir soit un sarcome, soit un myome, un gonflement, ou une phase leucémique.
Pour le Cortex, en phase active, ce pourra être un ulcère, une nécrose (cancer ulcératif de l'épithélium pavimenteux).
En phase de réparation, ce pourra être des polypes, un infarctus, une tuméfaction, ou une paralysie.
La Moelle réagira aux conflits de dévalorisation, le Cortex réagira aux conflits d'ordre relationnels.
Plus le conflit biologique sera résolu rapidement, et moins il y aura de conséquences physiques.
Tous les outils allant dans le sens d'un apaisement de l'esprit, vis-à-vis du problème, d'une réunion émotion et raison, sont les bienvenus: PNL, Hypnose Ericksonienne, Décodage ou autres. Aucun traitement chimique, en phase active, ne résoudra le problème de fond (conflit).
Ce qui ne veut pas dire d'arrêter ce traitement, bien au contraire.
Car, ce dernier va vous donner du temps supplémentaire à trouver la solution à votre problème.
En phase de réparation, le traitement que vous aura prescrit le médecin sera à poursuivre jusqu'à son terme.
Il vous aidera à vous rétablir plus rapidement et efficacement.
Quelques exemples de décodage
Côlon : conflits liés aux "saloperies" qu'on nous a faites. Si la pathologie ou les symptômes se trouvent dans le côlon ascendant, il faudra se tourner vers les ascendants de la famille. Si au contraire, ils se trouvent dans le côlon descendant, il faudra chercher chez nos descendants, donc nos enfants.
Foie : conflits de peur de manquer de nourriture, ou d'argent. Ils sont en général liés à la famille, aux enfants.
Rectum : conflits d'identité dans le territoire. Je suis mis sur la touche, je n'ai plus ma place.
Vagin : conflit de frustration lié à l'acte sexuel.
Col de l'utérus : conflit de frustration sexuelle (je ne suis pas choisi par le mâle).
Trompes utérines : conflit sexuel moche (mémoire de tromperie)
Seins (glande) : conflit de maternage. Sein droit (pour une droitière) en relation avec le mari, les frères, les soeurs, les proches qu'on materne. Sein gauche, en relation avec un enfant (la droitière donne le biberon de la main droite et a donc l'enfant sur le bras gauche) ou relation mère/enfant (pour une gauchère c'est l'inverse).
Moelle osseuse : conflit de très grande dévalorisation en général lié à la famille, le conflit de dévalorisation le plus fort, le plus profond qui existe.
Os : conflit de dévalorisation très importante (lié à la perfection). Décalcification, ostéoporose.
Muscles : conflit toujours de dévalorisation lié à la performance physique. Je ne suis pas capable de me défendre par exemple.
Nez : conflit de puanteur (grosse peur, angoisse, il y a danger, ça pue)
Oreille : pour la surdité (il m'est insupportable d'entendre cela). Pour les acouphènes, il s'agit d'un conflit archaïque de vouloir attraper une parole, un son (la voix de maman par exemple).
Épiderme : conflits de séparation (eczéma, psoriasis).
Artères coronaires : conflit de perte de territoire.
Veines : conflit d'avoir beaucoup de saletés à éliminer ( liés aux liens de sang). Varices, phlébites.
Je terminerai ce chapitre en abordant succinctement le phénomène qui est de plus en plus fréquent aujourd'hui, celui de l'allergie.
Je dirais simplement que le sens biologique de l'allergie, c'est de ne pas revenir en contact avec une situation déstabilisante, voire dramatique pour certains.
Il s'est produit quelque chose de terrible à un moment donné, les 5 sens ont tout enregistré, mémorisé.
Rien n'a pu être exprimé.
Un ou plusieurs allergènes étaient présents à ce moment-là, et lorsque la personne entre à nouveau en contact avec eux, exemple du pollen, la mémoire est réactivée, et le cerveau donne l'ordre de ne pas revivre ce drame, même si c'est fini depuis longtemps.
Sources : http://www.therapie-accompagnement.fr/decodage-biologique/signification.html
http://akbal.canalblog.com/archives/2014/05/05/29795230.html